
A l’école Karey Gorou, la seule source d’eau est le fleuve, à 300 mètres. L’âne se porte bien, merci ! Mais, il a fallu remplacer les pneus de la charrette car la voie est mauvaise, et c’est chaque jour que le gardien l’emprunte. Les bidons, trop exposés au soleil, ne résistent pas longtemps. On les a remplacés, en plastique encore ; on ne trouve plus de jerrycans ici.
A l’école Bobiel, l’eau provient de la pompe communale, à 500 mètres. Les 4 robinets fonctionnent bien, merci ! Mais avec la chaleur, la pression est très faible : la nappe phréatique est profonde et en journée, tout le monde a besoin d’eau. Le jardinier doit attendre tard la nuit pour arroser. Les tuyaux, abîmés par le soleil, ont été remplacés, grâce au don d’un belge vivant à Niamey.
