Il faut se rappeler les classes exposées à « tous les vents » : les vents de sable, les déchets qui volent, les passages des habitants, véhicules et animaux, le bruit constant, les risques d’incendie des classes en paille.
Et il n’a fallu que douze mois pour que les trois écoles de Danzama soient protégées et la vie scolaire transformée par la magie de la clôture verte.
La magie vient de la vigueur de la nature - des graines, de l’eau et ça pousse - couplée à la vigueur des motivations - celle des élèves chargés de soigner les arbres et la haie vive et celle de la communauté qui s’implique et peut très vite apprécier les multiples avantages.